Au théâtre des Barriques (là ou joue mon fils) nous avons vu En pleine mer de Slawomir Mrozek par la Compagnie Le Saut du Tremplin.

Une fable autour de la démocratie. 3 naufragé.e.s sont sur un radeau, un jour la distribution est féminine, le lendemain masculine, nous avons vu les filles.

Elles n’ont plus de vivre, et se disent qu’elles vont devoir manger une des 3. Elle font une espèce de campagne électorale, pour décider qui sera mangée.

Le texte ne m’a pas convaincue, c’est un peu du théâtre de l’absurde, je ne veux pas trop vous en dire mais il manque quelque chose dans l’écriture.

La Compagnie le Saut du Tremplin propose En pleine mer en tournée mais aussi d’autres spectacles.

Sur le site Festival Off :

Après un naufrage en mer, un(e) Petit(e), un(e) Moyen(ne) et un(e) Gros(se) se retrouvent sur un radeau, affamé(e)s et sans espoir. Ils/Elles décident alors de faire une campagne électorale pour désigner l’un(e) d’eux/elles, qui devra alors se laisser manger. La lutte pour la survie prendra donc une voie démocratique, ou pas…
En Pleine Mer, c’est une fable grinçante sur la démocratie. Elle est une formidable invitation au rire conscient et responsable.

La mise en scène est portée par deux distributions qui jouent en alternance : une masculine et l’autre féminine. Chaque distribution, forte d’un travail commun, vous invite d’une façon toute particulière à embarquer sur le radeau pour y vivre une expérience théâtrale unique.

Jours pairs : distribution masculine
Jours impairs : distribution féminine

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