Une fille, qui danse de Julian Barnes

81Wx8mmuv7L._SL1500_Un livre que m’a offert mon amie Isabelle, merci.

C’est un livre sur le souvenir, la mémoire de sa vie… L’auteur se souvient de sa jeunesse, de sa vie rapidement et des évènements à l’aube de sa retraite lui font faire un bon en arrière.

Il se souvient de sa bande de copains au lycée, de son ami Adrian qui s’est suicidé peu de temps après, de sa première petite amie Véronica qui ensuite a eu une aventure avec Adrian. Ces souvenirs sont mâtinés au goût des années 60 à Londres, une période où il semblait bon être étudiant.

Et 40 ans plus tard ? Quel exercice fait la mémoire pour se souvenir de tels évènements plutôt que d’autres ?

Comment raconter sa vie ? Combien de version sont imaginables ?

Le côté travail sur la mémoire est intéressant, l’histoire en elle même est un peu banale car au final on n’apprend que dans les souvenirs du narrateur Tony…

Je participe avec cette lecture au défi de Virginie B que vous pouvez retrouver cette semaine ici.

Au lycée, ils étaient trois amis jusqu’à ce qu’Adrian se joigne à eux. Il était différent, brillant et plus mûr. Tous l’admiraient. Ils croyaient alors vivre dans un enclos et qu’ils seraient bientôt lâchés dans la vraie vie. Pourtant, les jeux étaient faits en partie.

A l’université, Tony, le narrateur, fréquenta Véronica et découvrit que le corps des filles est parfois défendu comme la zone d’exclusion d’un pays pour la pêche. Quelques mois plus tard, il apprit qu’elle sortait désormais avec Adrian. De rage, il leur écrivit une lettre épouvantable.

Pourquoi Adrian s’est-il suicidé ?

Quarante ans plus tard, le passé qui resurgit révèle une terrible vérité. Elle bouleversera Tony et chacun des lecteurs d’Une fille, qui danse.

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