On retrouve Jack Taylor toujours en proie à l'alcool et aux drogues dures dans une nouvelle enquête. Elle le mène dans les couvent des Magdalènes, ces filles-mères emprisonnées dans les couvent…
Mais le livre suit surtout le déclin de Jack, ses beuveries, ces réflexions sur la littérature ou la musique. Son désintérêt pour le monde, ses batailles contre ses démons…
"L'enquête" est complétement secondaire, je ne suis pas sûre d'ailleurs d'avoir bien suivi.
Il faut mieux avoir le moral pour lire ce livre sinon très vite on a envie de foncer au pub boire une bonne pinte de Guinness accompagnée d'un whisky.
Jack Taylor n'est pas vraiment aimable mais au fil des livres on s'attache à lui 😉
Bonne journée Hic !
Lessivé, rincé par sa dernière enquête, Jack Taylor tente d'en faire
passer le goût amer en éclusant des pintes de Guinness au comptoir de
son pub préféré.
Alors qu'il répète à qui veut bien l'entendre qu'on ne
l'y reprendra plus, Jack est sommé par un caïd local de retrouver
«l'ange des Magdalènes». Contraint et forcé d'accepter afin de
s'acquitter d'une dette d'honneur, Jack se retrouve au cœur d'un fait
divers des années 1960, et croise bientôt les fantômes des «Magdalènes»,
des filles-mères reniées par leurs familles, exploitées dans des
couvents catholiques où elles lavaient leurs péchés en travaillant comme
blanchisseuses. Hanté par ses échecs passés, poursuivi par une police
locale qui lui cherche constamment des crosses, Jack va tenter de
retrouver cet «ange», une mystérieuse femme qui serait venue en aide à
ces pauvres filles mises au ban de la société.
Cependant, comme
l'alcool, la vérité est bien souvent trompeuse. Gare au retour de
flamme. Ce qui s'annonçait comme une mission rédemptrice va vite se
transformer en chemin de croix. Le martyre de Jack Taylor ne fait que
commencer…
Tagué:Galway, Irlande, jack Taylor, Magdelènes, polar

Il est très attachant cet ours irlandais. Un livre qui rappelle le film de Peter Mullan « the magdalene sisters ». Je pense que cette fois-ci Ken Bruen a voulu nous montrer que certaines pratiques archaïques ont la peau dure en Irlande.
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J’ai eu un peu de mal avec celui çi quand même !
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Celui qui m’a un peu déçue c’est « le dramaturge ».
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