Comment dire : grosse claque !
Le film de Tarantino va à 100 à l'heure et les 2h40 passent à la vitesse d'un tir au pistolet…
Il nous met directement dans l'ambiance, il faudrait revoir le film pour compter les morts et les litres d'hémoglobine projetés mais tout ceci ne nous plonge pas dans l'horreur.
Le Dr King Schultz, chasseur de prime d'origine allemande, nous fait découvrir l'Amérique sauvage des années 1860. Il affranchit un esclave, Django, et ils partent tous les 2 dans une quête de vengeance contre l'esclavage.
Le sujet est grave mais mâtiné d'humour et de dérision. C'est du grand western spaghetti et comme j'ai lu quelque part plutôt "bolognaise" !
J'ai tout aimé, on peut dire que je suis fan de ce cinéma improbable. Tous les détails sont bien pensés, des scènes sont mémorables, d'autres insoutenables mais le tout m'a bouleversée.
La scène du Ku Klux Klan, le combat entre les 2 esclaves dans le salon d'un club cosy, l'homme livré aux chiens, le regard de l'esclave noir à la fin sur Django, les peurs de Broomhilda et puis le combat final même Jack Bauer n'a pas fait mieux…
Allez-y !
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr
King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de
Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les
meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa
liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs. Alors que
les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que
son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à
cause du commerce des esclaves. Lorsque Django et Schultz arrivent dans
l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les
soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance.
Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse
organisation de plus en plus proche. Si Django et Schultz veulent
espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre
l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…
Tagué:cinéma, di Caprio, Django, Jamie Foxx, Tarantino, Waltz, western

Moi qui n’était ni fan ni emballé, tu m’as presque donné envie de voir ce film.
J’aimeJ’aime
Ohhh j’y suis allée mardi soir et j’ai vraiment aimé, je me suis régalée. La scène la plus violente pour moi fut le combat des deux esclaves. Quant à l’explosion d’hémoglobine, c’est tellement exagéré que c’est tout à fait comique!!!
J’aimeJ’aime
Mon amoureux veut m’y trainer 🙂 Maintenant que j’ai lu ton billet, why not 🙂 Merci !
J’aimeJ’aime
Presque seulement ?
J’aimeJ’aime
Complétement d’accord avec toi…
J’aimeJ’aime
Vas-y , tu nous diras 😉
J’aimeJ’aime
Tout pareil allez y, mais quand même Jack bauer aurait fait au moins aussi bien 🙂
J’aimeJ’aime
A voir 😉
J’aimeJ’aime