Je retrouve un policier de Indridason après La femme en vert que j'avais lu l'an passé et beaucoup aimé.
Je vous fais grâce des prénoms impossible mais sinon, cette rivière noire, est un très bon livre. Une enquête où rien n'est laissé au hasard par une femme-flic passionnée par son métier mais aussi sa famille, la cuisine indienne et la quête de vérité.
Et puis le thème du viol, du traumatisme des victimes, de la difficulté des témoignages, tout est traité avec beaucoup de pudeur et de compréhension.
Le commissaire, héros des autres romans de Indridason, n'est pas là mais il ne m'a pas vraiment manqué puisque ce n'est que mon deuxième roman de cet auteur.
Je ne vous dévoile pas davantage l'intrigue… Bonne lecture …
Le Mot de l'éditeur :
La rivière noire
Le sang a séché sur le parquet, le tapis est
maculé. Egorgé, Runolfur porte le t-shirt de la femme qu'il a
probablement droguée et violée avant de mourir… Sa dernière victime
serait- elle son assassin? Pas de lutte, pas d'arme. Seul un châle
parfumé aux épices gît sur le lit. L'inspectrice Elinborg enquête sur
cet employé modèle qui fréquentait salles de sport et bars… pour leur
clientèle féminine.
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Tagué:Elinborg, enquete, Erlendur, Indridason, Islande, Runolfur, viol
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