L'action se passe à Genève, principalement à l'université. Un jeune chercheur égyptologue est assassiné… Ses proches sont soupconnés et son ami Michael Kappeler mène l'enquête en parallèle de la police qui semble un peu dépassée.
Les références à l'Egypte ancienne sont intéressantes.
L'histoire est bien mené, les personnages attachants, seule la fin est un peu rapide je trouve, je ne vous en dis pas plus pour ne pas réveler l'intrigue mais … ben non je ne vous dis pas !
Les quelques "expressions suisses" me font toujours sourire.
Vous pouvez trouver ce roman au Editions Plaisir de Lire. Merci Anne.
Université de Genève, département des Antiquités égyptiennes : un chercheur est brutalement assassiné entre deux rayonnages coulissants de la salle de dépôt des archives. Quel est le mobile de ce meurtre ? Qui pourrait vouloir tuer ce jeune homme sans histoire, et qui plus est de façon aussi sauvage? Michael Kappeler, archiviste appelé sur les lieux par l’ami de la victime, devient le suspect numéro un aux yeux des inspecteurs. Il démarre alors sa propre enquête pour tenter de comprendre ce qui s’est réellement passé et surtout, pourquoi on le soupçonne.
Sur fonds de trafic d’antiquités, Rachel Maeder nous offre, avec ce premier roman, un thriller original, haletant et finement documenté.
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On a eu pas mal d’article de presse… 😉
Les journalistes ont appréciés… et pas que ceux de Genève !
Merci pour tes commentaires moi aussi les « romandismes » me font sourire… c’est un peu notre marque de fabrique ;))
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OK, toi, ton billet est nettement plus culturel!
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Les « romandismes » c’est encore plus joli avec ce nom 😉
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Ce n’est pas mon article pour Zaza !!!
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