Les Hurlements d’Leo et Les Fils de Teuhpu

P1110963Soirée au New Morning avec nos voisins et une quinzaine de musiciens sur scène…

Il y a très longtemps que je n'étais pas allée au New Morning, j'avais le souvenir d'une endroit plus cosy ?

Les Fils de Teuphu ont ouvert le bal, c'est assez fanfare mais tellement plein d’énergie et d'humour, que l'on passe un bon moment, je me suis laissée porter. Les garçons ont un peu moins aimé.

Ensuite les Hurlements d'Leo en force font plus de bruit et emportent la salle sans hésitation. Le début de leur set m'a un peu déconcerté par un côté musette mais ensuite j'ai apprécié ce rock inclassable (je n'arrive pas à trouver un terme qui les définisse vraiment).

Puis cerise sur le gâteau, ils sont revenus tous ensemble pour quelques morceaux prometteurs. Ils n'ont pas de noms alors qu'ils préparent une tournée pour cet été…

Une soirée festive où la bière a coulé à flot mais pas autant que la pluie sur Paris !


"Les Hurlements de Teuhpu" : Cet évènement annonce le retour attendu de ces troubadours effrontément punks qui ramène dans ses bagages des compagnons surprenants, assurant la relève de ceux partis sur d’autres chemins.

Les Hurlements d'Léo : Rien à faire, Les Hurlements d’Léo ce n’est pas juste une histoire, c’est quinze ans d'aventures humaines et musicales qui démontrent qu'il n'est pas le groupe d'un style, d'une idée, ou d'une scène, mais bien celui d'un état d'esprit ! Celui d'une grande famille musicale atypique et généreuse, délivrant une musique au style inclassable s'inspirant des longues routes parcourues sans relâche aux quatre coins du monde, avec toujours le même plaisir, et l'envie de partager son engouement musical. Mais c'est sûrement ce paradoxe constant entre les paroles d'une gravité et d'une mélancolie profonde avec une musique envolée et jubilatoire qui donne tout son sens au groupe.

Les Fils de Teuhpu : Mais d’où vient ce titre de noblesse? Un drôle de nom défiant les barrières. L’insulte n’a plus de sens. Un nom qui jette aux yeux une poudre de perlimpimpin, une boîte à diable qui fait fuir les pisse-vinaigre et autres méfiants méchants jamais contents… Sans trop se prendre au sérieux, trompette trombone, sax baryton, banjo, batterie, et pour la basse, une poubelle ou un soubassophone (cousin de l’hélicon), ou une pelle électrique, forment la "moulinette" Teuhpu d’où sortent des instrumentations fraîches et ouvertes, des chansons simples, ironiques ou absurdes sur un ton volontairement léger. Ils jouent comme des enfants, avec fougue et sincérité. C’est précisément la façon de mélanger qui fait le style Teuhpu… ..

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