Nos séparations de David Foenkinos

Capture d’écran 2012-02-20 à 21.43.41Je gardais ce livre pour les vacances… J'ai bien fait, c'est le livre parfait pour lire au soleil avec un vin chaud 😉

J'ai lu l'an passé La délicatesse que j'avais bien aimé. Celui-ci lui ressemble, logique c'est le même auteur mais je trouve les personnages moins attachants.

Ils s'aiment mais il y a toujours un mais, et la vie passe sans que le couple ne survive réellement… Alice est assez lointaine et Fritz a du mal à grandir. Les personnages secondaires restent en retrait, les parents ne sont que caricatures ( ils m'ont fait penser au film Le nom des gens)

Le style est agréable, l'humour décalé bien présent, la narration efficace. On passe un bon moment rapide (2 heures de lecture).

Idéal pour un Paris Lyon en tgv 😉


4ème de couv : "Je pense à Iris qui fut importante tout de même, à Emilie aussi, à Céline bien sûr, et puis d'autres prénoms dans d'autres pénombres, mais c'est Alice, toujours Alice qui est là, immuable, avec encore des rires au-dessus de nos têtes, comme si le premier amour était une condamnation à perpétuité. " Alice et Fritz s'aiment, et passent leur vie à se séparer. Les raisons : la cyclothymie des mouvements passionnels, les parents et les beaux-parents, le travail et les collègues, les amis d'enfance, deux polonais comme toujours, les cheveux et les dents, une longue histoire de cravate, la jalousie, et Schopenhauer bien sûr.

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