7m² de Jussi Adler Olsen

On retrouve avec plaisir le Département V et Carl, Rose, Assad et Gordon.

Carl à la fin du précédent épisode était en mauvaise posture, on le retrouve au même endroit, à savoir, en prison !

J’avais oublié mais cela était annoncé, c’est le dernier de la série 😦 Du coup l’auteur refait un peu l’historique de la série, on retrouve différents acteurs des enquêtes précédentes. C’est très riche en « intervenants », parfois je me suis perdue dans les noms.

Carl est accusé de tout… Ses coéquipiers sont priés de ne pas s’occuper de lui et de traiter les dossiers en cours. Bien sûr ils ne vont pas l’abandonner, ils vont même avoir de l’aide, elle sera bien utile car tout le monde veut la peau de Carl ! A découvrir, redécouvrir même.

10 épisodes, une page se tourne, j’ai aimé cette série lue depuis 2015, à lire dans l’ordre si vous la découvrez 😉

Merci Jussi Adler Olsen pour tous ces bons moments d’enquête.

Connaissez vous cette série ? Qu’en pensez vous ?

4ème de couverture :

Combien mesure l’enfer ? 7m2.

C’est la dimension de la cellule dans laquelle Carl croupit. Témoin gênant, il a été piégé par une puissante organisation de trafic de drogue. Depuis, il est devenu l’ennemi public n°1, même aux yeux de la police.

Il ne lui reste qu’une arme : son équipe. Mais Rose, Assad, Gordon et Mona parviendront-ils à le sauver alors qu’au sein de la prison sa tête est mise à prix ?

Jussi Adler Olsen signe l’apothéose de la série des enquêtes du Département V, traduite en plus de 40 langues, vendue à plus de 27 millions d’exemplaires dans le monde et bientôt adaptée par Netflix.

L’art d’ausculter l’aspect obscur de l’être humain, les remugles de sa conscience, ses obsessions intimes, sa violence insoupçonnée… Une fois de plus le redoutable Jussi nous bluffe. L’Obs

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6 réflexions sur “7m² de Jussi Adler Olsen

  1. labibliothequeroz 27 juin 2024 à 7 h 02 min Reply

    Hello ! J’ai adoré les premiers puis me suis arrêtée à Sel qui m’a profondément ennuyée. Belle journée !🌸

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  2. ta d loi du cine 27 juin 2024 à 16 h 40 min Reply

    Avec 628 pages, ce titre ne peut pas participer au challenge des « Epais de l’été 2024 » (il faudrait qu’existe une édition – poche ou livre en gros caractère?) qui fasse 650 pages au moins.

    Dommage: pour le challenge de l’an dernier, ClaudiaLucia et Enna avaient lu le volume 9, Sel (672 pages), alors que ma barre était à 600…

    En tout cas, votre billet est « tout de même » éligible pour le challenge parallèle « Les pavés de l’été 2024 » chez Sibylline, qui accepte cette année les « gros bouquins » à partir de 500 pages (elle était à 550 l’an passé). 😉

    (s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola

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