Livre pris à la bibliothèque, dans ma série livre féminin.

Nous sommes à Londres dans les années 60, les Beatles font leurs premiers concerts. Sylvia Plath, poétesse d’une trentaine d’année se suicide, ne supportant plus le monde patriarcal qui l’entoure. Son rôle de mère de famille, ses écrits poétiques invisibilisés par ceux de son mari, la fin de son mariage quand elle est trompée, lui sont insupportables.

Mais l’autrice Coline Pierré imagine que Sylvia ne meurt pas et se libère des hommes. Elle reprend son destin en main, écrit, vie entourée de ses enfants et de ses ami.e.s.

On est dans une grande période féministe, Sylvia lance ses combats pour les droits des femmes, et parfois en lisant on oublie que l’on est en 1960 !

Je ne connaissais ni Coline Pierré ni Sylvia Plath, le livre m’a bien intéressé, les luttes féminines mais aussi la dépression dans l’Angleterre des années 60 qui finalement reste d’actualité.

Connaissez vous ce livre ?

4ème de couverture :

L’émancipation d’une femme dans le Londres des Swinging Sixties.

Au coeur de l’hiver 1963, la poétesse Sylvia Plath, trente ans à peine, se suicide.
Mère assignée au foyer, artiste reléguée dans l’ombre par un mari qui prenait toute la lumière, amoureuse trahie et abandonnée, Sylvia Plath est le reflet de tant de femmes empêchées par le monde des hommes. Ça, c’est la réalité.
Et si Sylvia Plath ne s’était pas donné la mort ? Coline Pierré réinvente le destin de cette icône féministe, elle l’imagine s’émanciper et se libérer du joug masculin. Dans l’Angleterre des Swinging Sixties, électrisée par les Beatles et la culture pop émergente, son héroïne goûte avec la même intensité l’écriture, la maternité, le bonheur et le succès. Elle veut tout ; elle peut tout.
Ce roman optimiste et jubilatoire répare une injustice. Il fait renaître une femme unique telle qu’elle aurait pu vivre.

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