Un petit livre, moins de 200 pages, qui se lit vite et avec le sourire.
Comment le chapeau d'une homme illustre peut il avoir le pouvoir de changer le cours des choses ?
Une fable de la fin des années 80, agréable à lire, pas totalement anodine. Les personnages qui approchent le chapeau sont totalement différents, l'influence du célèbre feutre leur apporte le déclic dont ils ont besoin. On retrouve des souvenirs proches : c'est la ouate, les colonnes de Buren, le minitel, Canal +, Droit de réponse…
On rêve de croiser un tel objet 😉
La fin est excellente.
Daniel Mercier dîne seul dans une fameuse brasserie parisienne quand –
il n'en croit pas ses yeux – un illustre convive s'installe à la table
voisine : François Mitterrand. Son repas achevé, le Président oublie son
chapeau, que Daniel décide de s'approprier en souvenir. Tel un
talisman, le feutre noir ne tarde pas à transformer sa vie. Daniel
aurait-il percé le mystère du pouvoir suprême ? Hélas, il perd à son
tour le précieux couvre-chef qui poursuit de tête en tête sa promenade
savoureuse, bouleversant le destin de personnages pittoresques et
brossant, sous la forme d'une fable, un tableau de la France des années
quatre-vingt. « Une fiction réjouissante, un scénario habile, un roman
épatant… Bon d'accord, la formule est facile mais on n'y résiste pas :
chapeau bas ! »
Delphine Peras – L'Express

han, han !!! ça donne envie.
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Arf! Un excellent souvenir de lecture pour moi. L’auteur a d’autres bons romans dans sa besace… Je pense à « Carrefour des nostalgies », qui explore les coulisses de la politique, ou à « Fume et tue », qui offre un regard plus qu’intéressant sur les (non-)fumeurs.
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Oui très sympa comme lecture 😉
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Je note, merci des conseils…
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Ah! Après Kennedy qui echappe (??? je ne sais toujours aps!) à la mort…Mitterand pourquoi pas!
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JL le lit et je te le passe…
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