Un week end sans zhoms ça permet de lire davantage et de voyager à nouveau vers l'Espagne, Madrid en particulier.
L'auteur cite les rues, les places, je ne connais pas assez la ville pour me repérer mais je pouvais imaginer l'ambiance.
L'histoire commence très fort mais ne décolle pas ensuite. L'auteur "héros", il dit "je" parle et parle encore et je me suis un peu noyée dans ses pensées.
Il est ambigüe, il ne sait pas prendre de décision, il se laisse porter et cela donne envie de le pousser un peu ! Quant au mari il est insupportable et son histoire est comment dire "à pleurer" ! Quel égoïsme….
Je le range direct dans ma bibliothèque celui-là ! Je suis peut être passée à côté !
La 4ème de couv : Divorcé depuis peu, Victor, scénariste pour la télévision, et nègre à l'occasion, est invité un soir à dîner chez Marta, mariée, mère d'un enfant. Alors qu'ils sont dans la chambre " à demi vêtus et à demi dévêtus ", Marta se sent de plus en plus mal, jusqu'à agoniser et mourir. À trois heures du matin, dans un appartement inconnu à Madrid, que doit faire Victor ? Se débarrasser du cadavre ? Prévenir le mari ? Réveiller l'enfant endormi ? Victor choisira de fuir. Avant de se laisser mener par les événements, certains inoffensifs, d'autres périlleux. Sur une trame d'une extrême originalité, Javier Marias réussit une intense variation sur des sujets qui nous touchent tous : la dissimulation, le mensonge, l'ignorance de ce qui nous fait agir, le rejet de ceux que nous avons aimés.

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