Ce soir Théatre de la Ville, nouveau ballet de Prejlocaj…
Le pitch du site :
Avec Eldorado, Angelin Preljocaj retrouve Karlheinz Stockhausen. Le compositeur allemand, alchimiste du son à avant-garde de la musique contemporaine, lui a confié Sonntags-Abschied, envoûtante partition pour synthétiseurs qui effiloche la mélodie en digressions spirituelles. Les douze danseurs se glissent dans le fin tressage des lignes rythmiques. Remarquablement ciselée, la danse jaillit en constellations de duos, trios et quatuors, se propage en fulgurantes échappées ou se floute en enchevêtrements charnels. Précédé de l’Annonciation (1995), magnifique duo féminin qui bouscule l’iconographie, et de Centaures (1998), fougueux duel masculin, Eldorado donne à cette sensuelle calligraphie gestuelle l’aura d’un voyage mystique.
C’était superbe, magnifique… Les mots me manquent.
Vraiment je suis conquise.
Les danseuses et danseurs sont superbes, ils maitrisent parfaitement leur art et leur corps.
Les ensembles sont stupéfiants, les costumes se font oublier mais mettent les corps en valeur.
La musique est improbable mais necessaire…
Que dire : j’adore.


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