Un livre que m’a prêté mon amie Monette, je l’ai lu le week-end dernier mais il m’a fallu un peu de temps (et lâcher mon puzzle) pour vous en parler.
Rosie, entre 50 et 60 ans, après une vie professionnelle riche, mouvementée et voyageuse décide de rentrer en Irlande pour aider sa vieille tante Min.
Mais cette « pré-retraite » ne va pas se passer comme elle l’imaginait.
Elle part à New-York pour finaliser un projet d’écriture, sa tante la rejoint et décide d’y rester.
Rosie se retrouve seule en Irlande, elle hérite indirectement d’une vieille maison sur la côte. Elle s’y installe et réfléchit au sens de la vie, son passé et surtout son futur qui lui semble bien triste.
L’amour, l’amitié, les sentiments sont forts dans le livre.
L’analyse de la relation entre les 2 femmes est très intéressante, Min a élevé Rosie, le travail de Rosie les a éloignées, elles se retrouvent mais inversent leur énergie.
Rosie réfléchit au temps qui passe, l’âge ne lui permet plus de faire ce qu’elle faisait avant, son regard sur le monde, le regard que les autres portent sur elle, tout change, le vieillissement lui pèse. Ce n »est pas simple et j’ai retrouvé un bon nombre de mes interrogations.
J’ai lu ce livre le week-end dernier dans le même temps que je regardais la série En thérapie… Vous pouvez imaginer le tumulte dans ma tête 😉
Le livre nous offre aussi un beau voyage en Irlande.
Connaissez vous cette auteure ? Avez vous lu d’autres livres ?
4 ème de couverture :
Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s’occuper de la vieille tante qui l’a élevée. La cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n’a rien d’exaltant. L’idée vient à Rosie de s’occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Un éditeur américain accepte de la publier… Tandis que la vieille dame, qui a rejoint sa nièce à New York, est galvanisée par sa découverte de l’Amérique et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie, Rosie, elle, tombe amoureuse d’une maison de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu’elle adopte, s’y laisser pousser des racines.
La lucidité de Nuala O’Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre où l’on suit les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d’un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Tagué:Irlande, Nuala O'Faolain, Rosie, vieillesse
Je note ça me plairait bien!
Merci
Bisous
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C’est bien écrit
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Je ne connais pas mais pas très envie de ce genre de lecture en ce moment !
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C’est bien quand même … 😉
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Merci pour cet article .ma copine coco ger a lu un livre qui s appelle le bal des folles de Virginia mas et je suis un groupe de lecture sur Facebook .il en parle aussi
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Je vais voir 😉
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